Le film critique beaucoup les dérives de la société thaïlandaise, qui oublie ses traditions et qui est de plus en plus gagnée par l'individualisme.
Ainsi, le collègue qui vole les clients de Pusit ne peut porter plainte au commissariat contre lui car il ne connaît même pas son nom alors qu'il travaille avec lui quotidiennement.
Ainsi, le collègue qui vole les clients de Pusit ne peut porter plainte au commissariat contre lui car il ne connaît même pas son nom alors qu'il travaille avec lui quotidiennement.
Dans l'une des épreuves, Pusit doit remonter le cadavre d'un vieillard qui est tombé dans un puits. Le fils du vieillard et ses petits enfants vivent à côté et ne se sont même pas rendus compte de l'absence du grand-père alors qu'il est tombé depuis 10 jours...
Nous rencontrons deux personnes âgées dans le film. Chacun vit en reclus, dans des vieilles maisons en piteux état. La génération actuelle, quant à elle, vit dans des maisons tout confort sans se préoccuper des anciens.
Les hommes se tirent dans les pattes pour piquer le travail des autres et les jeunes femmes sont montrées comme coquettes, limite vulgaires et futiles.
On peut d'ailleurs noter à ce sujet la différence physique entre les filles rencontrées dans le film et l'héroïne, seule personne à s'intéresser à Pusit et à vouloir l'aider. Ses cheveux sont courts, elle est travailleuse, elle est vêtue de manière stricte et ne parle pas de manière criarde.
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